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Débat public NDDL : pourquoi ce débat le 13 novembre ?
De nombreux recours devant Tribunal Administratif, le Conseil d'Etat, et la Commission Européenne sont en cours.
Dans l'Enquête d'Utilité Publique (page 36/81) seuls "3 scénarios de croissance ont été pris en considération :
Revue de presse :
"Air France s'apprête à affronter un rude hiver" Ouest France 22-10-08
Dans l'entourage de Jean-Marc AYRAULT qui tient "mordicus" à son "Ayraultport" et ne nous a même pas répondu, on reconnaît l'échec flagrant: Nous sommes fortement concurrencés par Rennes...Dans 3 ans, elle sera à 1h27 de Paris. autrement dit, elle sera plus attractive que nous, notamment pour les entreprises". (Ouest France 01-11-08)
C'est vrai. Mais c'est parce qu'un mauvais choix a été fait. Nantes, la CCI, le Conseil Général 44 et la Région Pays de la Loire ont fait le choix d'un gros aéroport à NDDL tandis que Rennes et la Bretagne ont fait le choix du rail, de la LGV et de l'AGV pour demain.
Au moment d'engager la responsabilité des élus porteurs du projet et les générations futures sur une telle dépense (2,5 à 3 milliardsd'euros), nous estimons que le sujet mérite un débat.
DEBAT PUBLIC SUR LE PROJET D’AEROPORT NOTRE-DAME-DES-LANDES
Les élus MODEM de Nantes,
Benoît BLINEAU, Conseiller municipal et communautaire de NANTES
Isabelle LOIRAT, Conseillère municipale de NANTES
organisent un
DEBAT PUBLIC SUR LE PROJET
D’AEROPORT NOTRE-DAME-DES-LANDES
LE 13 NOVEMBRE 2008 A 20 HEURES
A NANTES SALLE BRETAGNE
Le débat sera précédé d’une audition des projets alternatifs de l’association SOLIDARITES ECOLOGIE présentée par Geneviève LEBOUTEUX et de l’étude ESG INFRA menée par Bernard FOURAGE, consultant Transports.
Toutes les sensibilités politiques sont invitées à s’exprimer.
Le débat sera animé par un ou des journalistes afin d’assurer une répartition équitable des temps de parole.
Nous comptons sur votre présence, car nous sommes tous concernés par ce projet majeur de transport, d’aménagement du territoire, de finances publiques et d’environnement qui nous engage pour des décennies.
Contact : 06 67 21 09 12
SALLE BRETAGNE 23 Rue Villebois Mareuil NANTES Tram Ligne 3 Félix Faure
C02 mon amour : Notre-Dame-Des-Landes : "projet irrationnel"
Dans l'émission C02 mon amour du samedi 11 octobre 2008 sur France Inter, Denis Cheyssoux et Arnaud Gossement, porte-parole de France Nature Environnement (qui regroupe 3000 associations) passent en revue les engagements et avancées positives du Grenelle de l'Environnement depuis un an. Je ne les détaille pas ici, il est préférable d'attendre la fin des débats au Parlement et le vote du projet de loi Grenelle pour voir ce qu'il en restera vraiment.
Ils évoquent aussi les mauvaises nouvelles, "les projets irrationnels qui étaient en cours auparavant et continuent leur petit bonhomme de chemin"
Ils en citent deux :
1. L'aéroport Notre-Dame-Des-Landes près de Nantes dont "on a absolument pas besoin"
2. L'autoroute Pau-Langon
Pont sur la Loire à 1 milliard contre aéroport à 3 milliards
A propos de l’abandon du projet de pont sur l’estuaire de la Loire, Jean-Marc Ayrault maire de Nantes et président de Nantes Métropole déclare dans Presse Océan le 11 juillet 2008 « un pont à un milliard d’euros, dont l’utilité est contestée et qui n’est porté que par Philippe de Villiers ne se justifie pas ! » et Patrick Mareschal, président du Conseil général de Loire-Atlantique reconnaît que ce projet de pont sur l’estuaire de la Loire n’est pas à notre « portée financière ».
Mais alors, Messieurs les principaux porteurs du projet NDDL, un aéroport à 3 milliards d'euros dont l'utilité est contestée et qui n'est porté que par JM Ayrault et quelques vassaux se justifie t'il ? Par quel tour de passe-passe NDDL serait il à notre portée financière ?
Les mêmes nous disaient il y a peu que si l’Etat ne payait pas, il n’y aurait pas de tram train. Nous savons qu’il n’y aura pas de TGV, et maintenant pas de pont. Patrick Mareschal réfute toute incidence sur le projet NDDL (Ouest France 11 juillet 2008), faisant comme si les accès d’un aéroport n’avaient aucune importance ! Les accès sont déjà un problème à Nantes Atlantique qui n’est desservi ni par le tram ni par le TGV. Alors pourquoi les mêmes voudraient-ils refaire les mêmes erreurs à NDDL ? Pourquoi construire à grands frais un aéroport international mal desservi, uniquement par la route, à contre- sens de toute modernité ?
Les triporteurs PS du projet ont-ils entendu parler :
- du prix du baril de pétrole qui atteint aujourd’hui 147 dollars ?
- de l’achat de TGV aux couleurs d’air France pour remplacer au plus vite les vols intérieurs ? (Ouest France 7 juillet 2008)
- du protocole de Kyoto II à venir qui va inévitablement taxer le kérosène ?
- du dernier rapport IATA ? (International Air Transport Association )
- Des 24 compagnies aériennes qui ont disparu ces 6 derniers mois ? source Courrier International n° 920 du 19-25 Juin 2008
Les éléphants vont-ils continuer longtemps à faire l’autruche ?
Et avec eux le Premier Ministre François Fillon et ses contradictions qui inaugurait l’an dernier le TGV Est…en avion (après avoir menti aux journalistes), qui nous a discrètement fait passer au Parlement la liberté de consommer des OGM, qui a signé la DUP de NDDL, qui pour faire face à la hausse du prix du pétrole promet de l’argent qu’il n’a pas aux routiers, aux pêcheurs etc…
On nous dit maintenant que ce pont sur l’estuaire n’est pas conforme au Grenelle de l’environnement mais que NDDL le serait.
Qu’est-ce que ce projet d’aéroport soi disant « développement durable » et compatible avec le Grenelle de l’Environnement qui n’est soutenu par aucun parti écologiste ou aucune personnalité reconnue dans ce domaine depuis longtemps ? ni les Verts, ni Cap 21, ni Corinne Lepage, ni Marie-Hélène Aubert, ni même Nicolas Hulot !
Par respect pour les citoyens-contribuables-électeurs, brisons là SVP les arguments dignes du café du coin. Ce n’est pas parce qu’un papa pilote a dit que ce n’était pas simple d’atterrir à Nantes-Atlantique, qu’il faut construire un deuxième aéroport à Notre-Dame-des-Landes. (Ouest France 25 Juin 2008)
Le pont sur l’estuaire était estimé entre 500 et 800 millions d’euros, et l’aéroport à 2 pistes à 580 millions HT (+ 100 millions de TVA pour l’Etat, qui en a bien besoin). Comment y croire, alors que le coût du nouvel aéroport de Lisbonne est estimé 2,7 milliards et l’extension de Londres-Stanstead est estimée à 2,9 milliards d’euros ?
Enfin, que les Nantais sachent bien qu’avec ce deuxième aéroport à NDDL, Nantes et surtout l’Ile de Nantes, son futur hôpital etc… seront toujours survolés par des avions ! Et oui on garde Nantes Atlantique pour Airbus.
N’en déplaise aux défenseurs acharnés de NDDL qui brandissent le survol de Nantes comme un épouvantail, la seule solution qui mette un terme définitif au survol de Nantes c’est la réorientation de la piste de Nantes-Atlantique.
Et ce fait, Messieurs Bolo et Robert, n’est ni « dilatoire », ni « sorti d’un chapeau » mais simplement une « réalité qui (vous) dérange » comme l’a si justement fait remarquer Chantal Leduc-Bouchaud.
En parlant de sortie de chapeau, Radio France Bleu Loire Océan nous apprend que Jean-Marc Ayrault veut maintenant doubler le Pont de Cheviré, idée jusque là soigneusement tue.
Marianne évoque les « années Ayraultiques », on pourrait rajouter « du déménageur breton ».
Jean-Marc Ayrault veut tout déménager, l’ «Ayraultport », l’hôpital, la pollution etc…
N’y a-t-il pas des besoins plus urgents et plus pertinents comme la construction ou la rénovation d’écoles, de collèges, de logements de maisons de retraite, de maisons de santé, de voies ferrées, mais aussi les problèmes de l’eau, le maintien d’agriculteurs au plus près de Nantes etc…
Ah si les derniers défenseurs du projet pouvaient refermer aussi ce dossier Notre-Dame des-Landes et étudier enfin les alternatives proposées par Solidarité Ecologie ou le consultant transports Bernard Fourage.
NDDL : "...suscite la convoitise des groupes de travaux publics"
Le principal projet aéroportuaire de France (son budget atteint les 500 millions d'euros) suscite la convoitise des groupes de travaux publics français et étrangers habitués des concessions. Tous attendent la procédure de mise en concurrence annoncée pour 2007, sans que sa date de lancement soit encore précisée. Le lauréat devra assumer une délégation de service public (DSP) incluant la construction de la plate-forme mais aussi sa gestion. La DSP actuelle, aux mains de la CCI de Nantes, se termine fin 2009, mais le gestionnaire en place peut anticiper cette échéance. ...
Compte-tenu de l'ampleur du projet, la loi du 25 avril 2005 qui prévoit la création de sociétés d'exploitation aéroportuaires ne s'applique pas à Notre-Dame-des-Landes, ce qui laisse le champ libre au privé. Les observateurs locaux s'attendent à voir apparaître les grands opérateurs comme Vinci, qui ne dispose pas d'aéroport, Kéolis, Bouygues, Egis (CDC), l'Australien Macquarie ou les Espagnols Abertis ou Ferrovial sans exclure des opérateurs aéroportuaires comme ADP ou Fraport.
(L'Usine Nouvelle, juin 2007)
Notre Dame des Landes va-t-elle devenir Notre-Dame des atterrissages ?
link
Par Marie-Hélène Aubert, Député Européenne
Mardi 29 Janvier 2008
Rien à faire. Malgré le pétrole de plus en plus rare et cher, l'indispensable lutte contre les émissions de gaz à effet de serre, la nécessité de préserver la biodiversité et les terres agricoles, les finances publiques à sec, les élus et les administrations de Loire-Atlantique rêvent encore du grand aéroport de Notre-Dame des Landes, censé lui aussi "libérer la croissance" sans doute. C'est à désespérer !
Samedi, le Préfet Hagelsteen avait ainsi convié les parlementaires du département à une réunion d'échanges et d'information (sic), demandée par le gouvernement, sur l'état du projet d'aéroport de Notre-Dame des Landes. Ayant eu vent de cette réunion, j'ai demandé à y participer en tant que parlementaire européenne de la région. Accordé, pas avec enthousiasme, mais accordé quand même.
Me voilà à la table de réunion et soudain, je me revois dix ans auparavant au moment où je me battais avec le collectif associatif local contre le projet de 3ème aéroport de Paris... à Beauvilliers, en pleine Beauce ! Aujourd'hui, je crois plus que jamais que ces terres agricoles si riches méritaient d'être préservées, comme le silence si rare de ces grands espaces et la tranquillité de leurs habitants. Quand le TGV Angers-Paris traverse la région de Bonneval et Voves, je regarde tourner les éoliennes avec un sourire de satisfaction. Nous ne étions pas démenés en vain.

Fresque humaine réalisée par la Coordination des Associations opposées au projet d’aéroport de Notre Dame des Landes; Copyright: Acipa, Association Citoyenne Intercommunale des Populations concernées par le projet d'Aéroport.
Hélas, aujourd'hui les landes ont remplacé la plaine, et c'est toujours la même chanson. Cet aéroport est incontournable, on ne va pas refaire le débat, tout est prêt, ce sera formidable pour l'économie de la région, bla bla bla... Seul argument nouveau, d'une mauvaise foi absolue : il faut déplacer l'aéroport de Nantes-Atlantique pour ne plus survoler la zone Natura 2000 et le lac de Grandlieu, et pour la sécurité des quartiers survolés à basse altitude. Ben voyons...
Le Grenelle de l'environnement est passé par là, et les élus font profil bas pour paraître éco-compatibles. L'heure de vérité arrive donc. Le bon sens et le respect des engagements du Grenelle voudraient que ce projet d'aéroport ne fasse pas l'objet d'une déclaration d'utilité publique, et que l'Etat négocie avec les collectivités territoriales le transfert des fonds prévus vers d'autres priorités, plus en phase avec les défis sociaux, écologiques et économiques, de notre époque et de nos régions.
Jean-Louis Borloo, numéro 2 du gouvernement (mais le numéro 1 est tellement pâlot qu'on se demande ce que le numéro 2 signifie...) chargé de l'écologie, du développement durable, de l'énergie et des transports, tu es au pied du mur. Ecologiste, vraiment ?
Par Marie-Hélène Aubert, Député Européenne
Mardi 29 Janvier 2008
Aérien : les compagnies s'attendent au pire
Article paru dans Le Parisien Aujourd'hui en France le mardi 3 juin 2008
«SANS DOUTE la plus grande crise à laquelle nous ayons jamais été confrontés. » Giovanni Bisignani, le directeur général de l'Association internationale du transport aérien (Iata), n'y est pas allé par quatre chemins, hier à Istanbul (Turquie), pour expliquer les conséquences de la flambée du pétrole sur le secteur. Selon l'Iata, qui représente plus de 240 compagnies et 94 % du trafic international, l'aérien pourrait afficher des pertes de 6,1 milliards de dollars en 2008 si le baril se maintient autour des 130 $.
En avril, la Iata tablait encore sur des gains de l'ordre de 4,5 milliards de dollars pour 2008. « Ces six derniers mois, 24 compagnies aériennes se sont effondrées », compte Bisignani. Et visiblement, la casse ne fait que commencer. Hier, le patron de la branche allemande d'Easyjet s'est livré à une prédiction qui fait frémir : « 50 compagnies européennes sont menacées. Il restera cinq compagnies de premier rang en Europe : British Airways, Air France-KLM, Lufthansa, Ryanair et nous. »
Comme la plupart des professionnels touchés par la hausse du pétrole, les compagnies aériennes ont réclamé aux gouvernements du monde entier d'être soutenues financièrement. Les voyageurs devraient bientôt prendre conscience de la crise. « Les tarifs vont refléter la structure des coûts », a prévenu Giovanni Bisignani . Autrement dit : les prix des billets vont prochainement augmenter.
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Projet d'aéroport : contre-rapport en ligne Ouest France 30 Mai 2008
Le consultant Bernard Fourage (à droite) avec les élus nantais Isabelle Loirat et Benoît Blineau.
Le rapport d'un consultant indépendant, opposé au projet, est accessible sur internet. À Nantes,les opposants centristes s'appuient dessus.
Le rapport de Bernard Fourage vient d'atterrir sur le bureau des grands élus, Jacques Auxiette, Patrick Mareschal et Jean-Marc Ayrault. Depuis plusieurs années, ce consultant indépendant travaille sur le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, dont il soulève « les fragilités ».
Il a élaboré, poussant loin le détail, un projet alternatif jouant la complémentarité entre les aérodromes de Nantes, Angers et Rennes, et l'intermodalité avion-train à grande vitesse. « C'est ce que s'apprête à faire Air France en remplaçant des vols intérieurs par des TGV », fait remarquer l'expert.
Il préconise le maintien du site actuel de Bouguenais, avec construction d'une piste orientée différemment (pour ne plus survoler Nantes), et la desserte de l'actuel aéroport par un RER Châteaubriant-Nantes-Pornic.
Avec l'argent économisé, il serait possible de lancer, dit-il, une liaison ferroviaire sud Loire à grande vitesse, vers Angers et Sablé, qui mettrait Nantes à 1 h 30 de Paris, « comme Rennes ».
C'est sur cette étude que s'appuient les élus MoDem de Nantes pour relancer le débat. Le travail de Bernard Fourage est désormais en ligne sur internet (http://esginfra.com), donc accessible au grand public. « Nous demandons à tous de le consulter », expliquent Isabelle Loirat et Benoît, les deux élus Mouvement démocrate du conseil municipal de Nantes. « Il faut que le débat sur les projets alternatifs ait lieu. Et nous allons nous y employer », affirment-ils alors que de leur côté, les élus Verts de Nantes viennent de s'en prendre, en termes très vifs, au député-maire, Jean-Marc Ayrault.
Malgré la déclaration d'utilité publique, rien n'est perdu, estiment les centristes. Car le paysage change. « Les transports évoluent à toute vitesse. Dans sept ans, quel sera le prix du baril de pétrole ? Déjà, Air France revoit à la baisse ses prévisions de vols intérieurs. Aujourd'hui, aucun argument ne permet de justifier un tel équipement. » Question majeure : qui va payer, et comment ? « Il n'y aura aucune subvention européenne, les caisses de l'État sont vides. Nous ne comprenons pas comment François Fillon et Jean-Marc Ayrault peuvent prendre le risque d'une telle casserole financière, eux qui tiennent tant de discours sur le développement durable et la maîtrise des dépenses publiques. »
Article de Marc Le Duc publié dans Ouest France le 30 mai 2008
Aéroport : Le MoDem contre-attaque - 20 Minutes 30 Mai 2008
Article 20 Minutes Nantes du Vendredi 30 Mai 2008 lien
http://www.20minutes.fr/nantes/233958-20080530-aeroport-modem-contre-attaque
Alors que Patrick Mareschal (PS) et Sophie Jozan (UMP) ont réaffirmé cette semaine leur soutien à l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, le MoDem, lui, a défendu hier une nouvelle alternative au projet.
Comme tous les élus de la mairie de Nantes, du conseil général et du conseil régional, les centristes Benoît Blineau, Isabelle Loirat et André Augier ont reçu ces derniers jours une étude réalisée à l'initiative d'ESG Infra, un cabinet de consultants indépendants spécialisés dans le transport. Celle-ci a séduit les trois conseillers municipaux d'opposition, puisqu'elle conclut qu'un nouvel aéroport serait « superflu, très coûteux et dommageable à l'environnement ».
L'étude présente aussi une solution alternative. Partant du principe que Nantes-Atlantique doit être optimisé, elle préconise la création d'une ligne ferroviaire grande vitesse sur le trajet Sablé-sur-Sarthe-Angers-Cholet-Nantes, qui mettrait la Cité des Ducs à une heure et demie de Paris. Elle propose aussi de remplacer le tram-train Nantes-Châteaubriant par un réseau plus rapide de type RER, reliant Châteaubriant à Pornic via l'actuel aéroport. L'étude estime par ailleurs qu'une seconde piste Est-Ouest est réalisable à Nantes-Atlantique, si le trafic aérien l'exige. « L'intermodalité ferroviaire est une réponse crédible au futur aéroport, insiste Isabelle Loirat. Ayrault et Fillon doivent prendre le temps de l'étudier s'ils ne veulent pas avoir un fiasco sur les bras. »
F. B. - ©2008 20 minutes
SUITE A L' ARTICLE DE NANTES-PASSION D'AVRIL 2008
Voici le communiqué de presse dans son intégralité adressé à Ouest France