energies
France Origine 2014 de l'électricité : 82,2 % nucléaire
Origine 2014 de l'électricité :
82,2 % nucléaire, 13,6 % renouvelables (dont 7,9 % hydraulique), 1,6 % charbon, 1 % fioul et 0,3 % autres. (Source EDF 2015)
Oui, hélas, en France nous dépendons encore à plus de 80 % du nucléaire pour l'électricité. Dépendance extrême et unique au monde.
En 2012 nous étions en France autour de 74,8 % de nucléaire dans la production électrique totale alors que la moyenne mondiale n'était que de 13 % et celle des Etat
part du nucléaire dans la production électrique
France : 58 réacteurs, 19 centrales, 75 % (ou 82,2 % en 2015) part / dépendance du nucléaire dans la production électrique
Russie : 33 réacteurs, 17,78 % nucléaire
Canada : 19 réacteurs, 15,29 % nucléaire
Royaume-Uni : 16 réacteurs, 17,8 % nucléaire
Ukraine : 15 réacteurs, 46,2 % nucléaire
Suède : 10 réacteurs, 39,62 % nucléaire
Allemagne : 9/ 17 réacteurs, 17 % nucléaire
Espagne : 8 réacteurs, 20,52 %
Belgique : 7 réacteurs, 2 centrales, 51 % nucléaire (Electrabel-GDF-Engie)
Suisse : 5 réacteurs, 40,8 % nucléaire
Japon : 51 réacteurs avant Fukushima-2011, 43 réacteurs restant , 2 réacteurs (Sendaï) ont redémarré (Sciences et Avenir 26 10 2015 )
Pays-Bas : 1 réacteur, 4,41 % nucléaire
CNRS :
11,7 % (2011 ) part nucléaire production mondiale
Dossiers CNRS réacteurs en activité
Le Japon s'apprête à redémarrer un 3e réacteur Sciences et Avenir 26 10 2015
Changer pour une énergie renouvelable et responsable, savoir où et par qui elle est produite ?
Augmentation supplémentaire et rétroactive pour des millions d'abonnés EDF
Regardez attentivement votre dernière facture annuelle d'EDF.
Vous devez payer en 2015 une "Régularisation tarifaire Base" sur votre consommation et votre abonnement du 23 07 2012 au 31 07 2013. Le montant peut s'élever à plusieurs dizaines ou une centaine d'Euros de plus par foyer selon le nombre de personnes et le mode de chauffage.
Il s'agit d'une "augmentation supplémentaire et rétroactive de 5 % hors taxes" sur des factures déjà payées en 2012-2013. Que diriez-vous si, en 2015, un vendeur vous réclamait au moment de régler votre achat 3 euros ou 500 euros de plus pour le pull ou la voiture achetés trois ans plus tôt ?
La nouveauté n'est pas tant l'augmentation du prix de l'électricité nucléaire produite par EDF mais la rétroactivité pour le client d'EDF.
60 Millions de consommateurs explique que "cette demande est tout à fait légale. Elle clôt un long feuilleton administratif qui a débuté en mi-2012 – lorsque les pouvoirs publics décident de limiter la hausse des tarifs réglementés d’électricité pour la période du 23 juillet 2012 au 31 juillet 2013. Saisi par les opérateurs alternatifs d’électricité, qui estiment que le gouvernement n’a pas fixé l’augmentation des tarifs réglementés à un niveau assez élevé, le Conseil d’État annule cette décision le 11 avril 2014. Les pouvoirs publics sont alors contraints de revoir leur copie afin que l’évolution tarifaire soit suffisante pour couvrir les coûts de l’électricité. Ils prennent le 28 juillet 2014 un nouvel arrêté. Lequel impose pour cette période d’un an une augmentation supplémentaire et rétroactive de 5 % hors taxes en moyenne pour les abonnés soumis au tarif réglementé."
Si c'est passé une fois, pourquoi pas deux ?
L'Etat a décidé qu'EDF devait reprendre Areva après sa chute (5 milliards de pertes fin 2014, entre 2600 et 3700 suppressions d'emplois déjà annoncées).
Les quatre EPR en construction à Flamanville, en Finlande et en Chine ne fonctionnent toujours pas, coûtent 3 fois le prix annoncé, soit près de 10 milliards pièce au lieu des 3 milliards annoncés au départ. Donc une quarantaine de milliards pour quatre réacteurs. Le patron d'EDF évoquait même hier les nouveaux "EPR NM", NM pour Nouveau Modèle. Un premier pas vers l'abandon officiel de la version première de l'EPR,
Liens :
Électricité : le rattrapage auquel vous n’échapperez pas 60 Millions de consommateurs (07 05 2015 )
http://www.60millions-mag.com/actualites/articles/electricite_nbsp_le_nbsp_rattrapage_auquel_vous_n_echapperez_pas (07 05 2015 )
Comprendre la résolution tarifaire 2012 Site d'explication d'EDF
https://particulier.edf.fr/fr/accueil/facture-et-contrat/facture/comprendre-ma-facture/comprendre-la-regularisation-tarifaire-2012.html
"Même si vous n'êtes plus client, même si vous êtes mort" http://www.metronews.fr/conso/edf-hausse-de-rattrapage-sur-la-facture-edf-devez-vous-payer-en-plus/moet!yO6CL0u22RTkE/ (21 05 2015 )
Régularisations tarifaires aussi chez GDF-Engie https://particuliers.engie.fr/questions-reponses/offres-prix/regulation-tarifaire.html
Sortir du nucléaire et gagner les élections : la preuve par Angela Merkel
En France on nous rabâche qu'on ne peut pas sortir du nucléaire parce qu'on basculerait dans le chaos économique. Alors on nous envoie sur les plateaux de télé des M. Sorin pour expliquer que « le nucléaire c'est bon pour l'économie, l’emploi, la compétitivité des entreprises et même pour la santé, allez, la France a déjà bien assez de problèmes comme ça pour ne pas en rajouter. »
Regardons ce qui se passe ailleurs dans d'autres grands pays.
En Allemagne, la physicienne Angela MERKEL a pris la décision historique de sortir l'Allemagne du nucléaire après la catastrophe de Fukushima. Il y a des changements qui changent vraiment. Et la Chancelière a gagné les élections. Il ne viendrait à l’idée de personne de qualifier « la femme la plus puissante du monde » d’écolo « décroissante chevelue ou barbue contre le progrès qui veut ramener ses compatriotes à la bougie » ou même de douter de son CV. L’économie allemande (avec ses 3 millions de citoyens déjà producteurs d’électricité non nucléaire) n’ayant pas basculé dans le chaos, la Chancelière Angela MERKEL a remporté hier une victoire électorale avec 41,5 % des voix. Imaginez ça un instant en France, un parti majoritaire qui prend la décision de sortir du nucléaire et gagne les élections.
Amis écolos et germanophones, comment dit-on « Haut les cœurs ! » en allemand ?
(Entendu un truc énorme ce matin à la radio : la sortie du nucléaire en Allemagne serait une « catastrophe écolo ». Et non, la catastrophe écolo c’est Fukushima, pas Angela. )
AU JAPON, IL N'Y A PLUS AUCUN REACTEUR en fonctionnement depuis le 15 septembre 2013. Et ce n'est pas cet arrêt de tous les réacteurs qui a fait basculer le pays dans le chaos mais plutôt la situation à Fukushima où la centrale en perdition fuit de partout. Quand et combien de réacteurs redémarreront ? Avant ou après les Jeux Olympiques raflés par Tokyo pour 2020 à la surprise générale de la planète ?
Pour finir, une ode à nos heureux médias qui ont décidément fait très fort ces jours-ci :
« Plus me plaît de montrer la belle épave du Costa Concordia que celle de Fukushima »
"La Course" Dessin de Olivier Bonhomme 20 08 2013
"La Course" par Olivier Bonhomme. Dessin paru dans Le Monde du mardi 20 Août 2013.
Lien vers son blog : http://olivierbonhomme.blogspot.fr/ et le commentaire qui accompagne son dessin :
"Hello ! Cela faisait un moment que je n'avais pas posté sur le blog. Je reviens avec une illustration réalisée pour le Monde - Eco, sujet libre. Exercice difficile que celui de choisir un sujet de l'actualité économique parmi la multitude qui font l'actualité mondiale. J'ai choisi d'illustrer la situation économique du Japon face aux enjeux énergétiques de demain, la course effrénée à la croissance qui se fait souvent au mépris de environnement En bref, le paradoxe d'un monde qui fonce droit dans le mur... c'est vachement joyeux !". Olivier Bonhomme
Pas très joyeux, en effet, l'Océan Pacifique est contaminé, et certains de faire comme si les océans ne communiquaient plus entre eux.
"Malheureusement, il est à craindre que l’objectif principal du gouvernement ne soit pas de résoudre les problèmes posés par l’accident de Fukushima, mais de préserver les chances de relancer le nucléaire japonais, presque à l’arrêt aujourd’hui." Médiapart
http://www.mediapart.fr/journal/international/230813/fukushima-cette-crise-que-le-monde-voudrait-oublier (24 08 2013)
Il faut changer de modèle énergétique et nous on va changer de compteur !
Il faudrait changer de modèle énergétique. Et nous, en France, on va changer de compteur électrique... ! ? Le tout pour 5 à 8 Milliards d'Euros sur un plan de 12 Milliards sur plusieurs années.
Débat sur la transition énergétique ? Bien qu'un nouveau ministre de l'Ecologie ait été nommé dans la semaine, il ne lui revient pas de se présenter aux Français pour expliquer ce nouveau plan "vert". Non, c'est JMA qui le présente, pour soigner son image faussement écolo et vraiment écornée ces derniers temps.
Alors que les questions se bousculent : qu'est-ce qu'on fait du nucléaire, de ses déchets, de notre dépendance aux rares pays producteurs d'uranium, de la sécurité remise en cause avec Fukushima où la situation s'aggrave pour les rejets d'élements radioactifs, comment et combien on investit sur les Energies renouvelables ou encore dans des EPR, comment on réduit notre consommation d'énergie et les pollutions et émissions de gaz à effet de serre qui vont avec, comment on s'adapte au réchauffement climatique, comment on partage avec les autres continents etc. ??
On se retrouve avec un grand projet collectif de changement de compteur électrique, de couleur verte, avec un nom anglais porteur de "lien" !
C'est le deuxième billet sur les boitiers ou compteurs, le précédent datait de juillet 2009, EDF combattait les boitiers pour faire des économies d'énergie. En 2009 EDF combat les économies d'énergie ! (18 07 2009). Mais c'était une autre époque.
Chez l'ophtalmo pressé(e) de DSK à F...
j'espère que vous avez de bons yeux !
Trouvé sur http://dangerecole.blogspot.com/ les dessins de jacq sur l'école
Fukushima - Rétrospective du Vendredi 25 Mars 2011 au 11 Avril 2011
Jeudi 7 Avril 2011
Samedi 9 Avril 2011
Fukushima - Rétrospective du Vendredi 11 Mars au 25 mars 2011
La centrale de Kashiwazaki-Kariwa (7 réacteurs, la plus grande centrale nucléaire du monde, qui desservait Tokyo) avait déjà été ébranlée le 16 juillet 2007 par un tremblement de terre de magnitude 6,8 sur l’échelle ouverte de Richter. nucléaire.http://www.japoninfos.com/La-centrale-nucleaire-de.html
http://www.leparisien.fr/tsunami-pacifique/japon-etat-d-urgence-declare-dans...-une-nouvelle-centrale-nucleaire-11-03-2011-1353259.php
+ 2 autres au sud à Tokai (il y en avait un 3è datant de 1965 mais il a été fermé en 1986)
les tours de refroidissement/ réfrigération de la centrale de Chinon sont moins hautes qu'ailleurs cf. présence des châteaux de la Loire
Vendredi 18 mars 2011
Lire la suite sur Rétrospective Fukushima du Vendredi 25 mars 2011 au Lundi 11 Avril 2011
Les liens entre otages et nucléaire ne datent pas d'aujourd'hui
Une émission de France 2 (le magazine de la rédaction) à voir absolument avant qu'elle ne soit plus en ligne sur un dossier passionnant et rarement évoqué.
Elle vaut tous les polars et les meilleurs scénarios d'Hollywood, sauf qu'il s'agit là de notre Histoire.
Il s'agit des liens qui existent entre :
- l'assassinat de George Besse, "le père du nucléaire" français, le 17 novembre 1986 à Paris, plus connu sous le nom de "patron de Renault"
- le prêt de 1 Milliard de dollars de l'Iran à la France (Affaire Eurodif) pour financer l'usine d'enrichissement d'uranium du Tricastin (1988) et la vente d'uranium enrichi à l'Iran par la France
- les bombes qui explosaient à Paris en 1986
- et les otages retenus au Liban à l'époque, etc.
Contexte : Chocs pétroliers, épopée du nucléaire français, Iran du Shah, révolution iranienne, guerre Iran-Irak, élections en France etc.
Personnages : Pompidou, G. Besse, Barre, Chirac, puis Mitterand, Fabius, Roland Dumas
Pour voir l'émission du 27 mars 2011 : http://13h15-le-samedi.france2.fr/?page=accueil&video=rhozet_13h15_20110327_60_27032011145728_F2
La filière nucléaire française ne fonctionnerait-elle pas ?
"Cela implique qu'on repense toute la filière, en particulier les rôles d'Areva et du CEA".
Source : "Le futur patron d'EDF cherche à mettre la main sur la filière nucléaire française" Libération du 18 novembre 2009 .
Chronologie de l'EPR 2003- 2009 par Catherine Gouëset publiée le 10 11 09 sur l'Express.fr
Décembre 2003: signature, par un consortium mené par Areva, d'un contrat pour la fourniture d'un réacteur EPR (European Pressurized Water Reactor, réacteur à eau pressurisée européen) à l'électricien finlandais TVO, sur le site d'Olkiluoto.
2004
Avril: après des mois de consultations, le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin donne son accord au lancement d'un réacteur nucléaire de troisième génération EPR en France.
Juin: EDF engage la consultation pour décider du site du réacteur EPR. Sont à l'étude Penly (Seine-Maritime), Flamanville (Manche) et Gravelines (Nord).
Octobre: le site de Flamanville est retenu pour la localisation du futur réacteur de troisième génération. Il doit devenir la vitrine commerciale de la filière nucléaire française.
Février 2005: début des travaux du réacteur EPR à Olkiluoto en Finlande. La mise en service; initialement prévue en 2009, sera peu à peu repoussée jusqu'en 2012 en raison de problèmes techniques et de retards successifs.
2006
Février: la commission particulière du débat public EPR clôture ses travaux, dressant un bilan en demi-teinte. Les anti-nucléaires l'estiment vide de sens, la décision de construire l'EPR étant déjà actée.
Mai: le conseil d'administration d'EDF entérine le coup d'envoi de l'EPR de Flamanville, pour un investissement de 3,3 milliards d'euros.
Juillet: une délégation d'écologistes dépose une pétition de 43 000 signatures contestant la procédure d'enquête publique sur le réacteur à eau pressurisée.
Septembre: EDF choisit Alstom et Bouygues pour la construction de la centrale de troisième génération de Flamanville.
Octobre: sept associations déposent un référé devant le tribunal administratif de Caen pour faire suspendre les travaux du réacteur EPR dans la Manche, "les travaux de terrassement ayant débuté avant l'avis favorable de la commission d'enquête publique", et "le décret gouvernemental de création de l'EPR". Le tribunal administratif rejette ce recours.
2007
Avril: l'Autorité de sûreté du nucléaire publie un avis positif sur le projet de décret autorisant la création du réacteur EPR de Flamanville. A dix jours du premier tour de l'élection présidentielle, le gouvernement autorise par décret la construction du réacteur de Flamanville, provoquant un tollé dans l'opposition.
Juin: Areva et EDF lancent la certification de leur réacteur EPR au Royaume-Uni.
Juillet: EDF annonce son entrée au capital de Constellation, un des géants américains de l'énergie, au moment où une version américanisée du réacteur EPR de quatrième génération a été retenue par Constellation.
Novembre: après plusieurs mois de report, Areva conclut la vente de deux réacteurs EPR de troisième génération en Chine.
Décembre: Areva dépose le dossier de certification de son réacteur EPR auprès de l'autorité de sureté nucléaire américaine, avec pour objectif la construction d'une centrale en 2015.
2008
Février: Areva menace d'aller en justice contre l'électricien finlandais TVO pour la construction de la centrale d'Olkiluoto, en raison des "retards récurrents" que connait le chantier.
Avril: à la suite d'une inspection effectuée en mars à Flamanville, l'Autorité de sûreté nucléaire déplore des "insuffisances" sur le chantier de l'EPR.
L'électricien allemand E.ON retient le réacteur nucléaire de troisième génération d'Areva pour ses centrales au Royaume-Uni.
Juin: en pleine flambée des prix du brut, le Premier ministre François Fillon déclare que le gouvernement réfléchit à la construction d'un deuxième réacteur EPR.
Juillet: Nicolas Sarkozy confirme la construction d'un second réacteur EPR en France.
Août : Greenpeace demande l'arrêt de la construction du réacteur EPR en Finlande, affirmant détenir des documents confidentiels faisant état de problèmes de sécurité "inquiétants". Helsinki demande à l'autorité finlandaise de sûreté nucléaire de s'expliquer sur ses méthodes d'inspection des soudures sur le site d'Olkiluoto.
Octobre: l'électricien finlandais TVO refuse le principe d'un partage des responsabilités et des surcoût pour le site d'Olkiluoto.
Dans le même temps, à la suite de difficultés techniques rencontrées à Flamanville, Bouygues annonce à EDF que le bétonnage du plancher du réacteur accusera un retard de plusieurs mois.
Décembre: EDF relève de près de 20% la facture de son réacteur de Flamanville. Alors que le coût initial du projet était estimé à 3,3 milliards d'euros, il dépasse désormais les 4 milliards.
Areva lance une procédure d'arbitrage contre l'électricien finlandais TVO concernant les retards du chantier. La branche suédoise de la Chambre de commerce internationale de Paris devra établir les responsabilités des contractants dans ces retards. Le mois suivant, TVO demande, à ce titre, des dommages de 2,4 milliards d'euros.
Janvier: le site de Penly, en Seine-Maritime, est choisi pour accueillir la deuxième centrale française de type EPR. EDF est chargé de la réalisation, dans le cadre d'une "société de projet" dont il aura la majorité. GDF-Suez y est associé. Pour Greenpeace, le réacteur EPR produira "des déchets sept fois plus radioactifs" que les réacteurs classiques, ce que le groupe Areva conteste.
Avril: deux hauts responsables de la sécurité d'EDF sont suspendus de leurs fonctions. Ils sont soupçonnés d'avoir fait espionner Greenpeace et l'association Sortir du nucléaire.
Mai : l'Autorité finlandaise de sûreté nucléaire impose à Areva d'interrompre certaines soudures à la suite de contrôles insatisfaisants.
Août Areva annonce des résultats en baisse en raison notamment d'une nouvelle provision pour le réacteur EPR finlandais due à des délais et des coûts supplémentaires.
EDF s'associe à l'électricien italien Enel en vue du développement de réacteurs EPR dans la péninsule.
Novembre: les autorités française, finlandaise et britannique demandent à Areva "d'améliorer la conception initiale de l'EPR", qui ne garantit pas en l'état actuel le niveau de sécurité requis.
Chronologie de l'EPR 2003- 2009 par Catherine Gouëset publiée le 10 11 09 sur l'Express.fr
Energies, Déchets nucléaires, Areva Atomic Anne Lauvergeon,