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Communiqué de presse du MoDem 44 sur le projet de réforme des retraites

17 Juin 2010 , Rédigé par MoDem 44 Publié dans #Société

17 juin 2010

 

Suite à la présentation par le gouvernement du projet de réforme des retraites, le Mouvement Démocrate estime que ce projet n'est pas équitable.

La réforme des retraites est nécessaire. Elle ne se fera pas sans efforts. Mais lorsque les efforts ne sont pas équilibrés, ils ne sont pas acceptés.
Le plan annoncé n’est pas convaincant en matière de ressources nouvelles !(1% sur la dernière tranche d’impôt est à peine symbolique) Là où on attendait un effort des plus favorisés, on annonce des mesurettes sans grand effet.La question d’une politique pour la production et le travail, l’encouragement à la création d’emplois est presque totalement absente du plan gouvernemental.

Pour les Démocrates, le seuil des 62 ans en 2018 est acceptable, avec les dérogations prévues, même si le glissement est un peu rapide, il n’y a pas là d’erreur majeure.

Mais pour la pénibilité, le gouvernement a choisi un examen individuel diagnostiquant une dégradation précoce de l’état de santé. Ce n’est pas vraiment juste car la pénibilité supportée longtemps, en soi, avec ou sans conséquences détectables devrait entraîner un droit à la retraite plus précoce.

La décision la plus injuste, et pour nous inacceptable, c’est la modification du seuil de 65 ans qui permettait de liquider sa retraite, avec les droits acquis, même incomplets, mais sans pénalisation.

Cette disposition concerne les salariés les moins favorisés, très souvent les femmes ayant élevé des enfants, ou tous ceux qui ont eu des difficultés de carrière. C’était un filet de sécurité. C’est seulement un artifice comptable, (les salariés sont déjà pour beaucoup au chômage ) . Il s’agit donc en fait d’un transfert de charges des caisses de retraite vers les caisses d’indemnisation du chômage !

Les efforts demandés aux fonctionnaires, et dans quelques années aux régimes spéciaux, correspondent à une attente en termes de justice et d’égalité devant la retraite. Mais ils auront des conséquences graves sur le pouvoir d’achat, dont il faudra tenir compte dans la politique à suivre à l’égard de la fonction publique.

En l’état, ce projet n’est pas équitable. Nos parlementaires vont participer au débat à l’Assemblée nationale et au Sénat, pour que les changements indispensables rendent, si c’est encore possible, cette réforme plus équilibrée et plus juste.

 

Pour Alain Guillon, Président et le Bureau de Loire Atlantique,

(Patricia Gallerneau Porte Parole MODEM44)

 

 

 

 

 

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"Du café renversé chez BP" (Vidéo)

15 Juin 2010 , Rédigé par Isabelle Loirat Publié dans #La Loire - la Mer - l'Eau

 

Jusque là je ne vous avais pas parlé de la marée noire qui sévit dans le golfe du Mexique depuis l'explosion le 20 avril 2010 d'une plateforme offshore Deep Water Horizon de la compagnie BP (Beyond Petroleum, ex British Petroleum).

Non pas que je m'en désintéresse mais je ne savais pas par quel bout commencer. Chaque jour une info chasse celle de la veille, un jour ils ont réussi à colmater la fuite estimée à 5000 barils par jour, le lendemain, non finalement la fuite n'est pas colmatée, et ce sont maintenant 

20 000 à 40 000 barils (soit environ 3 à un peu plus de 6 millions de litres) qui s'échappent chaque jour. Pendant que BP cherche à rassurer l'opinion et donc à minimiser les conséquences de l'évenement, le pétrole coule. Abondamment. Déjà 100 à 215 millions de litres ? Et cela pourrait encore durer longtemps. Le président Obama qui en est à son quatrième déplacement dans le golfe du Mexique a qualifié cette pollution de "11 septembre écologique". 

 

Malgré les moyens titanesques et parfois ridicules mis en oeuvre, BP n'a toujours pas réussi à stopper la fuite de pétrole.

  

Alors voici une courte vidéo qui tourne en dérision ces tentatives qui toutes furent des échecs en cascade comme les couvercles, les cheveux, les injections de ciment, la dispersion de produits au moins aussi toxiques que le brut, les incendies de nappes etc..

 

 

 

 http://www.youtube.com/watch?v=o7XWYD2xtOg (version en français)

 

 

Le pire c'est que la catastrophe aurait peut-être pu être évitée si les signaux d'alerte avant l'explosion fatale avaient été pris au sérieux (brutale augmentation de la pression dans le conduit de forage, quantité de liquide sortant du puits supérieure à celle pompée dans ce puits).

 

Si on ne sait pas maîtriser ces machines infernales que sont les plateformes offshore que notre addiction au pétrole nous conduit à construire toujours plus loin, toujours plus profond, dans des zones où nous ne maîtrisons plus rien alors il faut arrêter. Et mettre le paquet sur la recherche et le développement des énergies renouvelables qui devront remplacer les énergies fossiles.

  

Un moratoire de six mois a été décrété par les Etats-Unis sur les forages pétroliers dans le golfe du Mexique, et d’autres pays, dont les eaux territoriales abritent des forages offshore réfléchissent à des normes plus strictes.

 

Une note positive cependant : cette catastrophe écologique permet aux Américains de s'interroger sur leur avenir énergétique et de prendre des mesures pour limiter la dépendance des Etats-Unis au pétrole et aux autres énergies fossiles. C'est sur ce point surtout que nous attendons Obama cette nuit dans le Bureau Ovale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Ile de Nantes et ligne 5 - communiqué de presse MoDem

15 Juin 2010 , Rédigé par Isabelle Loirat Publié dans #Transports dont Vélo tram-train


 
Eco-quartier sur l'île de Nantes sans transports en commun ?
 
Le dernier numéro de Nantes Passion (n°205 juin 2010) évoque la création de trois éco-quartiers à Nantes "où la place des voitures est limitée" et sur la même page les lignes Chronobus dont la future ligne 5 qui selon le magazine municipal "traverserait l'île d'est en ouest".  Pourtant la carte (page 17) qui illustre l'article montre clairement qu'en l'état actuel la ligne 5 ne desservira pas le futur éco-quartier de "La Prairie-au-Duc, un site sur 18 ha à l'ouest de l'île de Nantes" et ne sera donc qu'une "demi-desserte".

L'urbanisme durable pour le XXI è siècle impose de penser le bâti et les transports en même temps et en amont.
Construire un éco-quartier sur une île mal desservie c'est prendre le risque de ne pas avoir un éco-quartier mais une simple ZAC à l'arrivée. (Zone d'Aménagement Concerté)
 
Nous demandons donc encore une fois d'étudier la prolongation de ligne 5 jusqu'au Hangar à Bananes à l'extrémité ouest de l'île de Nantes.

 

Benoit BLINEAU et Isabelle LOIRAT, conseillers municipaux
Cyril BEGUE, référent MoDem pour le canton de Nantes 3
Benoit BLINEAU et Isabelle LOIRAT, conseillers municipaux
Cyril BEGUE, référent MoDem pour le canton de Nantes 3

 

 

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Cumul de mandats : quand le principe de procrastination l'emporte

14 Juin 2010 , Rédigé par Isabelle Loirat Publié dans #Démocratie - citoyenneté - pluralisme

 

Mauvaise nouvelle pour la démocratie. On aurait pu se faire avoir et croire qu'enfin un groupe politique allait ouvrir la voie du non-cumul de mandats. Mais non ce ne sera pas pour cette fois. On a assisté au cours des dernières semaines à "une fronde des élus PS, des sénateurs surtout, mais pas seulement car ces derniers ont reçu le soutien du président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, Jean-Marc Ayrault"  pour remettre au lendemain (procrastination) l'application du non-cumul des mandats.

 

Face à cette levée de boucliers la première secrétaire du PS Martine Aubry, qui en avait fait "un symbole de l'exemplarité du PS face à une droite qui n'en veut pas, et se targuait de cette révolution plébiscitée par un vote des militants en octobre 2009" a rendu les armes, remballant vite fait bien fait sa proposition.  

Pourquoi ne veulent-ils pas du non-cumul de mandats ? Réponse des parlementaires :  « C'est suicidaire » car l'application du non-cumul de mandats dès 2011 mettrait en péril une possible victoire de la gauche au SénatIls comptent donc sur l'adoption d'une loi s'appliquant à tous les élus, mais pas avant 2014 !

 

Et pourtant non ce n'est pas suicidaire, cela eût même été exemplaire de renoncer les premiers au cumul à tout va dans le temps et dans l'espace, cumul de mandats hautement "démocracide" qui plombe la vie politique, verrouille tout et empêche le renouvellement de la classe politique et donc des idées et des méthodes. Car que fait un élu sitôt qu'il est élu ? Il pense à sa réélection ou à sa prochaine élection ! Et le voilà avec des pieds de plomb n'osant plus voter pour ou contre une décision, n'osant plus dire ce qu'il pense de peur de perdre quelques voix. Alors oui il faut libérer les élus de ce maudit cumul.

 

Un bon moyen pour finir par y parvenir : STOPPER le cumul des indemnités d'élus. Un élu cumulard ne serait rémunéré que pour un seul de ses mandats. Et là vous verrez, il y aura tout de suite moins de monde à se bousculer au portillon. Voilà une mesure qui ne coûterait pas cher et serait à coup sûr persuasive.

 

 

http://abonnes.lemonde.fr/politique/article/2010/06/08/le-senateurs-ps-intraitables-sur-le-cumul-des-mandats_1369407_823448.html

 

http://www.ladepeche.fr/article/2010/06/09/851473-Cumul-des-mandats-le-compromis-d-Aubry-avec-les-elus-du-PS.html

 

http://fr.news.yahoo.com/73/20100609/tpl-non-cumul-des-mandats-les-lus-font-p-1198b37.html

http://www.lepoint.fr/actualites-politique/2010-06-08/non-cumul-des-mandats-les-elus-font-plier-la-direction-du-ps/917/0/464275

.

http://www.liberation.fr/politiques/0101636081-les-senateurs-ps-contre-le-zele-anticumul

 

http://www.leparisien.fr/flash-actualite-politique/primaires-non-cumul-le-ps-s-attelle-a-sa-renovation-sur-fond-de-tensions-08-06-2010-956035.php

.  

http://www.lepost.fr/article/2010/05/20/2081276_le-cumul-contre-la-vertu.html

 

http://www.rue89.com/2009/10/01/et-si-on-essayait-plutot-le-non-cumul-des-indemnites

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Un téléphérique surplombe le stade de foot de DURBAN en Afrique du Sud !

11 Juin 2010 , Rédigé par Isabelle Loirat Publié dans #Téléphérique- tram aérien - transport par câble

Des téléphériques, on commencera bientôt à en voir partout - sauf à Nantes ?

Saviez-vous qu'un des 10 stades qui accueillent la Coupe du Monde de football, celui de Durban était équipé d'un téléphérique à 106 mètres au dessus du stade ?

Allez joyeuse Coupe du Monde à tous!

La capacité du stade Moses Mabhida à DURBAN est de 70 000 spectateurs. Il se situe à proximité de la promenade de l'océan Indien, au milieu du nouveau centre sportif de Durban. Il est équipé d'un terminal tout neuf pour passagers incluant une gare, un stationnement, et des aménagements de "park and ride" pour les spectateurs.

C'est un stade remarquable par son architecture et surtout par sa grande arche au centre, de 106m de haut, qui intègre un téléphérique. Ce dernier transportera les visiteurs à son plus haut point, d'où ils pourront admirer des vues splendides et panoramiques de la ville et l'océan. Enfin, magasins, bars, cafés et restaurants seront présents dans l'enceinte de Kings Park. Capacité d'accueil : 70 000 personnes

 

Photos du stade de Durban

 

Pour réussir une Coupe du monde, il ne faut pas seulement une bonne organisation, de bons joueurs et des supporters. Il faut aussi de bonnes infrastructures. L'Afrique du Sud dispose de dix stades où les matches du Mondial seront joués. Petit visite de ces temples du football sud-africain.

2. Moses Mabhida of Durban Stadium

Le "Durban Stadium" incarne véritablement l'innovation architecturale de l'Afrique du Sud. La conception du stade s'inspire du drapeau national, le grand arc qui l'entoure représente l'unité de la nation à travers le sport. Les deux branches de l'arc côté sud et côté nord se rejoignent pour former une même branche, symbole de la nouvelle unité d'un pays autrefois divisé.
Le stade peut contenir 70.000 personnes. Ce projet ultra-moderne fait partie d'un grand parc sportif. Un téléphérique passe au-dessus du stade, offrant un spectacle phénoménal, 350 mètres plus haut que la pelouse. Chaque spectateur dispose donc d'une vue dégagée sur le terrain.

Après la Coupe du Monde, ce temple du sport sera également utilisé pour le rugby et l'athlétisme.

   
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"Le téléphérique s'installe en ville" - Europe 1

11 Juin 2010 , Rédigé par Isabelle Loirat Publié dans #Téléphérique- tram aérien - transport par câble

La Question Environnement de Brigitte Béjean sur Europe 1 portait le 9 juin sur le transport par câble dans les villes, "solution souple et facile à mettre en oeuvre" présentée au Salon Européen des Transports Publics.

 

Pour écouter la chronique sur le site d'Europe 1  (durée environ 2 minutes) ou sur le site de nos amis du FIL, L'AUTRE VOIE  

 

Le téléphérique en ville est-il l'avenir des transports en commun ?  

" Le transport par câble en ville : le téléphérique... c'est une solution présentée au Salon européen des transports publics qui se tient jusqu'à demain à Paris... ce sont des transports très souples, faciles à mettre en oeuvre. Plusieurs grandes villes se sont déjà mises au téléphérique et il y a un projet à Annecy." (Marc-Olivier Fogiel)
 

 

B Béjean : "Oui... quand on pense téléphérique on pense aux stations de ski, à la neige... c'est vrai que c'est pratique quand il y a un dénivelé. Mais il y en a aussi en pleine ville, comme à Grenoble, pour monter à la Bastille... Et plusieurs grandes villes dans le monde, sont en train de s'équiper de transports par câbles, mais très modernes... il y en a un à Medellin en Colombie... à Caracas, Barcelone, Taïpei, Constantine, Istanbul, en Suisse, en Scandinavie aussi...
 

Mais le projet d'Annecy, s'il voit le jour, ce sera un téléphérique à plat qui ira des banlieues au centre ville sur 10 à 12 km qui pourrait bien être la solution pour désengorger une route, un segment à deux fois une voie, qui est devenue un bouchon perpétuel... 50.000 véhicules par jour, notamment parce qu'il dessert un grand centre commercial.
Il faut supprimer ce point noir.. car vous savez qu'Annecy postule pour organiser les J.O d'hiver de 2018...
Le dossier doit être bouclé en janvier prochain... Il ne faut pas traîner.
 

Donc, cette idée de cabines suspendues à un câble, c'est une solution rapide à mettre en oeuvre : en 1 an c'est construit... . Pas de problème d'emprise au sol, il suffit de poser quelques poteaux et de construire gares d'embarquement, accessibles aux poussettes, aux fauteuils roulants. C'est un transport extrêmement sûr , quasiment pas de gaz à effet de serre, c'est électrique, c'est silencieux et à l'usage, des cabines sur un câble suspendu c'est 50 fois moins d'énergies qu'une solution autobus.
La ligne irait de Mésigny à Annecy en passant par la gare de Grand Epagny là où se trouve le centre commercial."
 
MOF : "Et combien ça coûte tout ça ?
B Béjean : " Pas très cher : 5 à 7 millions d'euros le km... beaucoup, beaucoup moins chère qu'un tramway par exemple... On parle d'un budget total pour le Fil de 75 à 105 millions d'euros... et d'après le calcul de l'association qui porte le projet, si on retient la solution route, 2 fois 2 voies sur 8 km, ça coûterait 137 millions d'euros."

Dommage que la ville de Nantes - plus grande ville de France à avoir un projet de transport par câble - ne soit pas mentionnée dans cette chronique, alors François quand tu veux, tu réveilles les Nantais avec un beau reportage sur le projet de Téléphérique sur la Loire à Nantes...

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Que devient Cap21 ? Réponse de Corinne Lepage

7 Juin 2010 Publié dans #Politique

Mes chers amis


Je voudrais tout d'abord remercier au nom du bureau politique tous ceux qui ont participé aux travaux du Congrès le week-end dernier et qui ont contribué ainsi à son succès.

Nous venons de franchir à nouveau une étape importante dans la vie de notre mouvement en reprenant notre indépendance par rapport au Mouvement Démocrate et en nous engageant dans la voie de la refondation du pôle écolo-démocrate auquel nous aspirons depuis plusieurs années.

Les débats ont été riches et nous partageons tous la même volonté de rénover la et le politique en travaillant sur un projet ambitieux de transition écologique et démocratique dont les 4 pactes en débat constituent l'embryon.

Les nouveaux statuts nous permettent d'innover et de nous ouvrir à tous ceux qui d'une manière ou d'une autre ont envie de participer au débat d'idées, qu’ils viennent de la société civile ou d'autres formations politiques.

C'est une ère exaltante qui s'ouvre sur le plan politique, je souhaite que chacun d'entre vous puisse y participer selon son expérience, ses compétences, son temps. Il est indispensable que nous soyons présents sur le terrain, aux contacts de nos concitoyens, des ONG, des associations, des salariés, des jeunes, que nous soyons à l'écoute des plus fragiles, que nous les aidions, que nous agissions avec responsabilité et éthique.

Nous avons acté aussi de la possibilité pour nos équipes de travailler localement avec d’autres formations démocrates, écologistes, radicales, proches de nos valeurs. Nous avons notamment approuvé la possibilité d'avoir une plateforme de discussion avec Europe Ecologie dans l'esprit de la coopérative impulsé par Dany Cohn Bendit. Nous sommes ainsi favorables à la politique de la main tendue non au repli sur soi, la refondation de l'écologie politique autour de l'humanisme et du développement durable pourrait trouver écho auprès beaucoup de nos concitoyens à condition que nous sortions des schémas politiques traditionnels.

Malheureusement, nous nous heurtons à la stratégie de certains Verts qui consiste à refuser toute structure organisée autre que celle de leur propre parti au sein d’Europe Ecologie. Les déclarations de Jean-Vincent Placé, n°2 des Verts à l'AFP selon lesquelles «la structuration d'Europe Ecologie est un bide total et n'intéresse personne » traduisent le malaise actuel.

Dès lors, si nous souhaitons le succès d'une écologie politique autonome et ouverte, il est primordial que nous affirmions notre refus d'un tel mode de fonctionnement dans lequel la réalité n'a rien à voir avec la communication et encore moins avec l'espoir qu'avait suscité la démarche de Dany.

Nous sommes un parti ouvert et respectons la liberté de tous ceux qui pensent pouvoir travailler de l'intérieur de EE à un rassemblement. Mais, nous n'avons pas le droit à la naïveté et j'invite ceux qui feraient le choix de participer à la convention inter-régionale de ce week-end de se rappeler que CAP21 en tant que tel n'est pas invité et que les adhérents qui y seront ne pourront y parler qu'à titre individuel et pas au nom de CAP 21.

Le but de certains parait être de vider CAP21 de ses adhérents, ce à quoi ils ne sont évidemment pas parvenus mais surtout de retourner à une idéologie qui a confiné l'écologie politique en France à n'être qu'un très modeste supplétif du PS.

Un partenariat se construit dans la discussion, la confiance et la transparence pas dans l'ignorance.

L'enjeu écologique mérite mieux que cela.

Bien chaleureusement à chacun.

Corinne LEPAGE

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Réponse de François Bayrou aux rumeurs de changement de cap du MoDem

7 Juin 2010 , Rédigé par Isabelle Loirat Publié dans #Politique

 

 

 

Paris, le 4 juin 2010

 

Chers amis,

 

Depuis quelques jours, on entend un certain nombre de commentaires sûrement très bien intentionnés prétendant que nous préparerions un « changement de ligne », un infléchissement de notre action en direction de l'actuelle majorité, en forme de « retour ».

Cela mérite une mise au point claire et nette pour éviter rumeurs et intoxications.

 

Nicolas Sarkozy m'a invité à le rencontrer en privé au mois d'avril. Lorsque le président de la République m'invite, hier François Mitterrand ou Jacques Chirac, aujourd'hui Nicolas Sarkozy, je considère comme normal d'accepter cette rencontre. Je fais de même lorsqu'il s'agit du Premier ministre ou des leaders de l'opposition de gauche. La situation de notre pays est suffisamment grave pour que les responsables conscients des difficultés (ils ne sont pas si nombreux) acceptent d'échanger leurs points de vue, y compris de manière informelle et en toute liberté.

Cela s'impose d'autant plus dans les jours de crise que nous traversons. Devant ces difficultés, que j'avais prédites depuis longtemps, personne ne peut affirmer qu'il a la solution. Tout le monde cherche, tout le monde sait (ou devrait savoir) que nous allons vers des temps difficiles, et dans les temps difficiles il n'est pas inutile de réfléchir ensemble. Nous sommes en désaccord, parfois violent, c'est normal, c'est la démocratie, mais nous ne sommes pas en guerre civile. C'est le point de vue que j'ai toujours défendu et que je défends d'autant plus aujourd'hui.

Parler entre responsables, sans concessions et sans compromissions, pour moi, pour nous, c'est le b-a ba d'une démocratie de citoyens adultes. Je vous le dis clairement, je continuerai de le proposer, et de le mettre en pratique.

 

À ce titre, je revendique avec fierté que nous ayons ces derniers mois tendu la main à une partie de la gauche, social-démocrate, en espérant qu'elle oserait un jour affirmer son identité. Pour l'instant, cela n'a pas été le cas, mais nous avons eu raison de tendre la main et nous devons continuer à le faire !

Il n'y a pas de démocratie sans confrontation des idées et sans dialogue. Et la crise fait du dialogue une obligation.

Cette rencontre avec le président de la République a eu lieu au moment où trois dossiers étaient ouverts par le gouvernement : la burqa, les retraites, et les collectivités territoriales.

 

Sur la burqa, sujet épineux, mis en scène d'abord (ne soyons pas dupes) pour des raisons électorales, mais qui trouble beaucoup de Français, particulièrement de femmes, j'ai indiqué que le texte du gouvernement qui dit seulement qu'en France « nul ne doit dissimuler son visage dans l'espace public » me paraissait raisonnable. Si ce texte ne change pas, je le voterai. C'est aussi le sentiment de notre ami Abdoulatifou Aly, député de Mayotte, seul député musulman de notre Assemblée nationale. Nous sommes ainsi fidèles à notre ligne de conduite : quand une décision nous paraît acceptable, nous votons oui ; si elle ne l'est pas, nous votons non.

 

Sur les retraites, question très lourde (trente milliards d'euros de déficit cette année), j'ai indiqué qu'une réforme était indispensable. Certains disent que la réforme peut être évitée ! Pour moi, cette position est irresponsable. Donc, si la réforme proposée est raisonnable, je la soutiendrai. Dans le cas contraire, je ne l'approuverai pas.

Des financements nouveaux doivent être trouvés et mettre à contribution des revenus, notamment du capital, qui jusqu'à maintenant échappaient à la solidarité.

Il faut augmenter le nombre d'actifs par rapport au nombre des retraités pour que la charge soit supportable. Cela ne pourra se faire que par une politique qui permette de créer davantage d'emplois en France, par une reconquête de productions nouvelles ou de productions que nous avons laissé s'en aller. Personne n'en parle et c'est pourtant là la clé, la seule clé du problème des retraites, comme c'est la seule clé du pouvoir d'achat, ou de l'intégration par exemple.

Il demeure qu'il faudra travailler plus longtemps ! C'est le courage de le dire.

Comment y parvenir ? Faut-il faire glisser l'âge légal, progressivement, au-delà de 60 ans ? Pour moi, comme pour Dominique Strauss-Kahn, cet âge n'est pas tabou. À condition que soit traitée la question de la pénibilité de certains métiers, ce qui pour l'instant n'est pas fait.

Faut-il augmenter le nombre d'années de cotisations ? Cette solution qui a la faveur du PS et de certains syndicats n'est pas interdite non plus. Mais cela signifie que pour tous ceux qui ont fait ou feront des études, la retraite serait reportée bien au-delà de 65 ans. Les deux solutions ont leurs inconvénients : peut-être faut-il combiner les deux ? Nous en débattrons d'ici au 26 juin, date à laquelle le Conseil national arrêtera nos propositions. En attendant le débat dans nos rangs est ouvert à partir d'une note d'orientation que vous avez reçue il y a quelques semaines (cliquez ici).

En tout cas, je suis décidé à défendre le seuil (aujourd'hui fixé à 65 ans) où on peut faire valoir ses droits à la retraite sans décote même si l'on n'a pas le nombre de trimestres exigé. Ce « filet de sécurité » est très important, par exemple pour les femmes qui ont repris le travail après avoir élevé des enfants, ou pour ceux qui ont connu la « galère » du chômage, ou pour ceux qui ont travaillé à l'étranger, par exemple.

Il faudra enfin penser la vraie réforme, je devrais dire la vraie refondation des retraites, celle qui assurera l'équilibre sur le long terme et permettra à chacun d'adapter librement sa retraite aux conditions particulières de chaque vie professionnelle ou familiale. Pour nous, nous plaidons depuis dix ans pour un système de retraite à points, ou de comptes personnels, où chacun sait, à tout moment, où il en est. C'est le seul moyen, sur le long terme, d'assurer l'avenir de la retraite par répartition. J'ai été heureux de noter sur ce sujet des prises de position nouvelles, par exemple les déclarations de la CFDT. J'ai demandé au gouvernement de faire de cette réflexion sur une réforme à long terme, par exemple à l'horizon 2020 ou 2025, un chapitre important de sa proposition.

En tout cas, il n'existe pour moi aucune possibilité responsable et juste de ne pas faire de réforme. Il suffit, dans les rues de nos villes ou villages, de compter les retraités, de plus en plus nombreux, et les actifs, de plus en plus rares, pour voir que nous allons dans le mur. Et aller dans le mur, cela signifie, comme en Grèce, en Espagne ou au Portugal baisser brutalement les retraites de 10 % ou de 15 %. Cela, je ne l'accepte pas et je ne serai pas complice d'une telle lâcheté.

Enfin sur les collectivités locales, j'ai combattu à la tribune de l'Assemblée nationale, et je continuerai à combattre le projet du gouvernement de faire élire les futurs conseillers territoriaux à l'actuel scrutin cantonal, ce qui serait la consécration du bipartisme, un recul de l'idée régionale, une renoncement insupportable à la parité et au pluralisme. Selon moi, une telle loi serait inconstitutionnelle et définitivement inopportune (lire intervention).

 

Savoir approuver quand une décision va dans le bon sens, combattre les décisions injustes, cela a toujours été notre ligne de conduite. J'en suis fier et je le revendique.

Cela signifie-t-il une quelconque connivence avec le pouvoir actuel ? Je vois bien la manœuvre qui tente de le faire croire. Mais ceux qui conduisent cette intoxication se mettent le doigt dans l'oeil et il convient, charitablement, de les détromper...

J'ai, depuis le premier jour, mis en garde contre les risques que faisait courir la politique de Nicolas Sarkozy.

Cela n'a rien à voir avec une mésentente personnelle. Je ne dis pas qu'il n'a aucune qualité, d'énergie par exemple. Je ne lui fais pas porter des responsabilités qui ne sont pas les siennes : je sais bien qu'il n'est pas directement responsable de la crise, même si cette crise est celle du capitalisme qu'il défendait.

Mais mon jugement n'a pas changé : les orientations de Nicolas Sarkozy ont porté atteinte à des principes pour nous essentiels.

La justice fiscale a été niée par le « bouclier fiscal ». Les déficits ont explosé, et pas seulement à cause de la relance. L'éducation est maltraitée, sans vision, et dans une approche uniquement comptable. L'indépendance des médias est mise à mal par la nomination directe des responsables de l'audiovisuel public. Le mélange des affaires privées et des affaires publiques a été une réalité de tous les jours. La séparation des pouvoirs est malmenée. Le président porte atteinte à la fonction qu'il exerce en se présentant constamment comme chef de parti.

 

Tout cela, je l'ai dit, directement, à Nicolas Sarkozy chaque fois que je l'ai rencontré. Et pour que nul n'ignore quel est mon jugement sur ces graves erreurs, j'ai écrit un livre « Abus de pouvoir » qui n'était ni un pamphlet, ni un mouvement d'humeur, mais un diagnostic et une défense des principes démocratiques et du modèle républicain français.

Nous avons combattu sans relâche ces choix qui ont aggravé la situation de notre pays ou l'ont empêché d'avancer. Ce combat, pour moi, n'a pas cessé et ne cessera pas.

J'observe d'ailleurs que ce diagnostic, que nous avons formulé depuis trois années, et souvent seuls, est aujourd'hui largement partagé.

Tout cela peut-il être corrigé ? Si c'était le cas, tant mieux. Mais cela me paraît, à tout le moins, résolument improbable.

Restent les débats sur le « centre », auquel désormais on semble trouver tant de charmes et de vertus.

 

Pour moi, les choses sont limpides : un centre indépendant est vital pour la démocratie française. Ce courant politique est un des piliers de la vie publique. Il est le garant du pluralisme nécessaire puisqu'il empêche le simplisme de la bipolarisation droite/gauche. Il conjugue la démocratie avec la République. Il refuse que la guerre des deux camps soit le seul horizon de notre vie publique. Il se bat contre le monopole du pouvoir attribué à qui que ce soit. Il veut à la fois la justice sociale et une économie inventive et créative, c'est-à-dire libre. Il considère que l'éducation est la pierre de fondation de tout progrès humain. Il défend notre patrimoine naturel comme un bien commun et prend au plein sens du terme l'association des deux mots « développement » « durable ». Il pose comme principe que l'économie financière ne doit pas gouverner le monde et doit être régulée. Et il sait qu'un tel projet de société ne se défend pas si l'Europe n'est pas forte, unie et libre. Ce projet politique est en confrontation, et souvent en opposition avec les idéologies portées aujourd'hui par l'UMP et par le PS. Il ne peut donc accepter de se laisser satelliser par aucun des deux partis actuellement dominants.

Il peut chercher et trouver des compromis, mais il refuse les compromissions. Il est ouvert, mais il est intègre. Et il ne doit accepter aucune concession, ni sur l'ouverture, ni sur l'intégrité.

C'est pourquoi l'article premier de tout acte d'existence du centre, c'est l'indépendance. Je ne ferai sur ce point central aucune concession à qui que ce soit.

La faiblesse actuelle de ce courant politique vient de sa division et, pour certains, de sa soumission. Division et soumission, ce sont les deux causes de sa faiblesse électorale actuelle. Je ne ménagerai pas mes forces pour qu'il se rassemble, et pour qu'il se redresse.

En tout cas, sa mission est de préparer et d'offrir une alternative réaliste, crédible à la politique qui a été suivie depuis trois ans.

C'est parce que je crois à la force et à l'avenir de cette famille politique que j'ai été, je suis, et je serai intransigeant sur le respect de ses principes. Cela demande courage et caractère ? Tant mieux ! C'est ainsi que se forgent et s'éprouvent les vraies aventures humaines.

Je vous prie de croire à mon amitié.

 

François BAYROU

 

A lire aussi :

 

http://sylvietassinmodem44.over-blog.com/article-communique-du-modem-44-en-reponse-a-ouest-france-et-son-bayrou-se-recentre-a-droite-51719126.html

 

http://modempornichet.over-blog.net/article-halte-a-l-intox-sur-bayrou-qui-se-recentre-a-droite-51640098.html

 

 

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C'est quoi un trolleybus ?

6 Juin 2010 , Rédigé par Isabelle Loirat Publié dans #Transports dont Vélo tram-train

 

« ça dort là-dedans ».

 

On lui devait déjà l'idée du téléphérique pour relier la pointe de l’île de Nantes aux deux rives de la Loire. Et voilà que le MoDem propose un trolleybus pour la future ligne 5 qui doit traverser l’île de Nantes d’est en ouest. Encore une bonne idée que les Verts nantais n’ont pas eue. Ils sont pourtant plus nombreux que les bayrouistes. Alors quoi, on roupille chez les écolos ? »

Lu dans Les Potins du journal Presse Océan, 4 juin 2010

 

 

 

Comme quoi il n’y a pas que la quantité qui compte.

 

Ça roupillerait pas un peu aussi chez Presse O ?   Car enfin ça ne date pas d'aujourd'hui.

Cette proposition de trolleybus à Nantes faisait déjà partie du programme de la liste du MoDem conduite par Benoît Blineau pour les élections municipales de mars 2008.

Mais cela avait fait moins de bruit que le Téléphérique sur la Loire.

 

Bon merci quand même de l'avoir rappelé.

 

Au fait c'est quoi un trolleybus ?

 

trolleybus st etienne

 

 

 C'est un transport en commun. Performant, non polluant, rentable.

 

 

 

 

Et comment on eu cette idée ? Grâce à Lionel Jouan* dont c'est le moyen de transport préféré... et qui a toujours su le défendre avec des arguments solides auprès de toute l'équipe ! En voici quelques-uns :

  

"Le trolleybus est un véhicule de transports en commun urbain, voire suburbain, similaire à un bus sauf que sa motorisation est électrique. Fonctionne avec des caténaires comme le tram.

 

Rendement des moteurs : la motorisation électrique a un bien meilleur rendement que celle d’un bus classique, de l’ordre de 73% contre environ 25%.

  

Consommation d’énergie : des calculs ont été faits sur 4 types de moyens de transports urbains, tramway, trolleybus, bus diesel, bus GNV, et les résultats exprimés en Wh/place/km donnent :

 

 tramway : 23,50,

trolleybus : 25,00

bus au diesel 71,00 

et bus au GNV 92,00

 

Le trolleybus ne contribue pas à la pollution de l’air, il ne produit ni C0² ni Nox, ni C.O.V., ni poussières.

 

 

Le trolleybus est peu bruyant, à l’arrêt il est à 0 dBa, et à 50 km/h il n’est encore qu’à 75 dBa contre 84 dBa pour un bus (attention l’échelle des dBa est logarithmique est non linéaire et avec 9 dBa de différence on a 3 fois l’intensité de bruit).

 

 

 

Le trolleybus est un moyen de transport rentable :

 

Il faut en effet raisonner en coût complet, c’est à dire coût d’investissement +

coût d’exploitation sur la durée de vie du matériel.

 

Combien ça coûte un trolleybus ? un peu plus cher qu'un bus, moitié moins cher qu'un tram.

 

0,4 à 0,5 M Euros pour un véhicule trolleybus standard, capacité 80 passagers

0,6 à 0,8 M E pour un véhicule trolleybus articulé, capacité 120 passagers

 

Capacité de 80 à 120 passagers

Durée de vie : 20 à 25 ans

 

Un trolleybus articulé simple (2 cabines) à un coût moyen à la place estimé entre 6,7 et 8,4 k € contre 5 à 7,5 pour un bus articulé.

  

A titre comparatif :

un bus coûte de 0,19 à 0,35 M d'Euros bus articulé ou standard, capacité 80 à 120 passagers, durée de vie de 10 à 15 ans

 un tramway sur fer coûte 2 à 3 M d'Euros pour une capacité de 120 à 280 passagers (ne pas confondre avec le prix du km de ligne de tram)

 un tram train coûte 3,5 M d'Euros pour 250 passagers 

 cout-trolleybus.jpg

 

 

 

4– Le trolleybus doit ses avantages à sa motorisation : (Aie ! un peu de technique…)

 

- le moteur électrique est un moteur rotatif, alors que les moteurs à pistons classiques (essence, diesel, GPL, GNV, etc.) sont des moteurs à mouvements rectilignes alternatifs qui nécessitent une étape pour transformer ces mouvements rectilignes en mouvements rotatifs ( les roues tournent ). C’est comme à vélo, les pieds font des mouvements alternatifs de haut en bas pour descendre la pédale ( temps moteur) et de bas en haut quand la pédale remonte (temps mort), c’est pour améliorer ça qu’on a d’abord inventé les cale-pieds, puis les pédales avec « cales

automatiques » pour transformer le temps mort de remontée de la pédale en temps moteur, le pied tirant la pédale vers le haut. Schématiquement c’est ce qui explique le mauvais rendement.

 

- Le moteur électrique ne provoque aucun frottement, le rotor tourne librement sur ses roulements, ce qui le fait tourner c’est un champ magnétique, alors que dans le moteur classique les pistons frottent dans les chemises ( c’est même encore plus complexe…)

 

- Le moteur électrique ne nécessite pas de boîte de vitesses, ni d’embrayage, d’où suppression de l’usure de ces éléments, et des pannes éventuelles.

- Pour ralentir, les véhicules à moteur électrique n’ont pas besoin de freins, les moteurs sont alors utilisés en génératrices, ce qui les freine, là encore sans usure, donc pas de garnitures à changer, ni de tambours, et en plus, cerise sur le gâteau, en freinant ces véhicules produisent de l’énergie, alors qu’en freinant un véhicule classique dissipe en pure perte de l’énergie… (pour vérifier, regardez simplement le conducteur de tram, pour ralentir il n’appuie pas sur une pédale de frein, il inverse simplement son curseur sur son tableau de bord).

Il y a encore plein d’avantages, c’est passionnant."

 

Lionel Jouan le 27/10/07

 

 

 

Citoyen nantais bénévole, à la retraite, non encarté au MoDem mais qui nous aide sur tout un tas de sujets, de dossiers techniques depuis 2007. Un grand merci, Lionel !

 

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